À venir

Complices : Il Pleuvait et Nous Nous Sommes Rencontré.e.s 

 « C’est sur une note complice, un regard accordé, que les choses peuvent être possibles entre deux personnes, entre trois personnes, entre plusieurs personnes. Les relations humaines sont identiques à n’importe quelle composition musicale ou chorégraphique : tel un ensemble de musiciens qui ont toujours besoin de bien accorder leurs instruments afin que les notes fassent pleuvoir nos émotions, fassent s’éveiller nos sensibilités profondes, enfouies, cachées. De même, nous avons aussi besoin d’accorder nos regards dans une complicité qui donnerait l’ouverture à des relations plus horizontales, plus harmonieuses. Par l’écoute réciproque les êtres peuvent trouver cet équilibre sensible, au-delà des différences de genre ou de culture. »

https://vimeo.com/andreyaouamba

Concept & mise en espace
Andreya Ouamba
Interprètes
Ashley Salla
Alex Garcia
Clarisse Sagna
Samy Dacosta

Production
Association 1er Temps (Dakar) & Cie ABC (Paris)
Coproduction
BaroDa – Théâtre de l’Arlequin
Coréalisation Rencontres Essonne Danse
Avec le soutien de
Ministère de la Culture du Sénégal
La Mairie de Dakar
Centre Mampuya – Toubab Dialaw
Maison des cultures urbaines

EN CONSTRUCTION

L’oeil de Bamako

Pour ce projet, nous partons des portraits photos de Malick Sidibé associés aux images d’archives (vidéo, journal, écris…) comme des objets sociopolitiques de l’époque, pour relater, ou peut-être raconter la période des années 1960 sur le continent Africain qui fut un tremplin d’une image de changement structurel et politique. 
Cette proposition est née de la collaboration entre deux artistes plasticien et chorégraphe, et associe un dispositif plastique à des dialogues entre danse, texte, et musique, des dialogues entre des portraits en mouvement par et avec le(s) corps, des portraits traversant un temps qui ne nous dépasse ni ne nous quitte. 
 Nous invitons les spectateurs à un voyage temporel qui nous narre pièce après pièce (en photos/vidéo) les péripéties d’une société, ou disant de ces sociétés qui étaient en mouvement, telle une exposition vivante, mouvante à travers, au travers de ce dessin pour y contempler ce qui se disait, se chantait, se dansait… se chuchotait ! 

https://vimeo.com/manage/videos/644012065

EN COURS (disponible)

Step Out /2

Step out/2, un solo né d’une rencontre entre Andréya OUAMBA et Armel MALONGA (dit Mel). La pièce repose sur une écoute et surtout sur un échange mutuel accordant une grande place à l’improvisation. Les deux artistes confrontent leurs évolutions artistiques, trouvant leur point de résonnance entre jazz et danse contemporaine. Ils ne se sont pas vus depuis longtemps, ce duo raconte leurs retrouvailles tout autant que leur complicité, leur amitié et le temps perdu. Tout au long d’une partition fluide, alternant silences et cavalcades, moments d’apaisement et de solitude, ils revisitent ensemble les territoires musicaux et chorégraphiques qu’ils ont traversés. 

https://vimeo.com/300616910

Concept/mise en espace
Andréya Ouamba
Interprète
Andréya Ouamba et Armel Malonga
Concept musique/interprète
Armel Malonga

Production
Association 1er Temps
Coproduction
Institut Français de Brazzaville
Festival Rue Dance / studio Maho
Association 1er Temps

De Quoi Sommes-nous Faits ?!

Dans un Brazzaville en plein conflit armé, Andréya Ouamba se souvient du jour où, encore jeune, et au risque de se faire tuer, il brava des militaires sur son chemin Car sa peur était plus grande encore que son père se rendît compte de son absence à la maison.
Le chorégraphe y voit plus qu’une anecdote. En Afrique, le respect dû aux aînés demeure une valeur à toute autre supérieure. D’où le doute qu’il affronte dans cette nouvelle pièce. N’y aurait-il pas quelque lien à gratter, entre l’autorité paternelle entretenue par l’éducation au sein du cercle familial, et la reproduction des régimes politiques autoritaires et paternalistes ?
Non sans audace, le danseur aujourd’hui très en vue sur le continent africain relève un défi d’émancipation philosophique. Il le fait au côté de l’écrivain camerounais Kouam Tawa, dans une forme dont la théâtralité est également abordée avec la metteure en scène Catherine Boskowitz. De quoi sommes-nous faits? D’idées reçues en héritage, qu’il faut oser ébranler.

https://vimeo.com/307447788

Distribution
Concept/Mise en espace/acteur
Andreya Ouamba
Direction d’acteur/Mise en scène
Catherine Boskowitz
Danseuse interprète
Clarisse Sagna
Auteur Kouam Tawa
Musique originale (guitare)
Press Mayindou
Scénographie/Vidéo
Jean Christophe Lanquetin
Assistant scénographe
Arnaud Granjean
Création Lumière
Cyril Givort

Production
Cie 1er Temps (Dakar) & Cie ABC (Paris)
Coproduction
Théâtre de la Ville, Atelier de Paris-Carolyn Carlson, Pôle-Sud CDCN Strasbourg, Cité internationale des arts
Avec le soutien de
La Région Île de France, La Ville de Paris, L’Institut Français-Paris, L’Institut Français-Sénégal, L’Institut Français-Congo, l’Adami

IL Y A QUELQUES ANNÉES DÉJÀ

J’ai Arrêté de Croire au Futur

Il y a une qualité spécifique Andréya Ouamba, un esprit frontal, direct, qui saisit le taureau par les cornes pour affronter les choses comme elles sont. Son spectacle J’ai arrêté de croire au futur…, pour cinq danseurs, affirme une fois encore ce besoin viscéral de dire, de dénoncer sans rien éviter.
Sur le plateau, un dictateur (l’acteur Wakeu Fogaing qui a écrit son propre texte) engraine les esprits au gré d’un discours usé d’avoir trop servi, trop menti. Et pourtant ! Ironie oblige, l’impact du propos fait réagir le groupe, le projetant dans des marches sèches, des salves de gestes, des balayages de corps énervés.
Rage, tension et impuissance, besoin de relever le gant pour se dégager un avenir, Andréya Ouamba, qui s’appuie sur la puissance musicale en direct d’Aymeric Avice, prend au collet la question majeure en Afrique de la dictature et de ses méfaits. En douce, il glisse aussi une interrogation tout aussi essentielle : comment retrouver la foi dans l’autre ?

https://vimeo.com/307447788

Concept & mise en espace
Andreya Ouamba
Danseurs
Clarisse Sagna, Fanny Mabondzo, Aicha Kaboré, Marcel Gbeffa,
Jean-Robert Koudogbo
Comédien et auteur
Wakeu Fogaing
Compositeur et musicien
Aymeric Avice
Scénographie
Jean-Christophe Lanquetin
Création lumières
Cyril Givort
Costumes
Hélène Meyssirel
Assistant scénographe
Ikhyeon Park

Sac au Dos

On a tous avec soi, une valise de passé, un sac de souvenirs. Des gros, des petits, des douloureux. Ils nous encombrent, ils nous protègent. Ils nous accompagnent. Ils sont nos compagnons de survie.
Florent Mahoukou et Andréya Ouamba portent le très lourd sac des guerres qui ont ravagé leur pays, le Congo, dans l’assourdissant silence des nations.
Alors, ils dansent pour exorciser le passé, pour dire la mémoire et ses plaies, la mort côtoyée de si près. Ils creusent dans les souvenirs enfouis sous des tonnes d’images inavouables, inavouées. Ils disent l’insolence d’échapper au massacre, l’indécence de la survie. Ils dansent l’indicible, la vanité des mots.
Et le dire c’est déjà s’en prémunir en lui donnant sa place, y échapper un peu… Vider son sac !

https://www.youtube.com/watch?v=K08rqeulHOs&t=941s

Sueur des Ombres

Sur une scène délimitée par de simples bambous, les corps des six interprètes courent et trébuchent, se ruent et se retirent en tombant, rappelant les assauts incessants et vains de la houle. L’écume de l’humanité se bat contre les ombres, celles de l’ignorance, du pouvoir aveugle et de l’arbitraire. Celle des hommes qui tombent, les corps fauchés comme si de rien n’était tandis qu’une nonchalance de l’horreur s’installe. La composition chorégraphique d’Andréya Ouamba  ancre dans un espace quasi rude, un monde ou les hommes sont parfois cloportes, parfois désespérance, violents toujours. Le carnage n’est jamais loin. Ces êtres atomisés, déchirés, enjambent les corps et oublient leurs morts. Lentement. Soutenue par une gestuelle imaginative et une intelligence du geste, Sueur des ombres, nous entraîne dans des endroits où l’on ne doit pas passer, d’où l’on ne peut sortir, où l’on ne sait pas parler.

https://vimeo.com/96414590

Concept & mise en espace
Andreya Ouamba
Interprètes
Aïcha KABORE, Fanny MABONDZO, Francia LOUZOLO NKODIA, Horten ADJOVI, Marcel GBEFFA, Fatou Cissé
Régis
Cyril Givort
Administration
Ndèye Mané TOURE
Scénographie
Andreya Ouamba
Production
Association/Cie 1er Temps
Co-production
CDC-La Termitière/Ouagadougou, Institut Français d’Ouagadougou, Institut Français de Cotonou
Avec le soutien de
Institut Français/Programme Afrique et Caraïbe en Création, Eeg Cowles Foundation/ USA, VSA Art of New Mexico/USA

The Good Dance – Dakar/Brooklyn

Co-Choreography Reggie Wilson
Co-Choreography Andrèya Ouamba
Co-Lighting Design  Jonathan Belcher
Co-Lighting Design  Carrie Wood
Costume Design Naoko Nagata
Cast Rhetta Aleong, Fatou Cisse*, Marcel Gbeffa*, Michel Kouakou, Paul Hamilton, and Anna Schon and Reggie Wilson
Music Franklin Boukaka, Traditional Atege-Gabon (the village of Odjouma), Aretha Franklin, Serge & Dechaux, Sister Rosetta Tharpe, mixed by Craig Loftis, Franco and Le Tpok Jazz, Robert Belfour. 

75 minutes running time

« The Good Dance really does communicate viscerally and visually. In what seems to be an effort to suggest the flow of influence between the two continents, the eight dancers kick, shovel, toss, and carry 300 plastic water bottles back and forth from one side of the stage to the other. The piece is honest about the differences and rivalries between the two cultures, but it’s dominated by an underlying sense of affinity and kinship. » – Chicago

« The Good Dance communique vraiment viscéralement et visuellement. Dans ce qui semble être un effort pour suggérer le flux d’influence entre les deux continents, les huit danseurs donnent des coups de pied, pelletent, lancent et transportent 300 bouteilles d’eau en plastique d’un côté à l’autre. de la scène à l’autre. La pièce est honnête sur les différences et les rivalités entre les deux cultures, mais elle est dominée par un sentiment sous-jacent d’affinité et de parenté. – Chicago

https://vimeo.com/16673579

Across the Street

Following the intentions
Comme une lumière qui s’échappe sans avoir de limite, comme pour une pensée qui reste invisible, même parfois pour soi-même.
Nos pensées et idées ont traversé des kilomètres pour ce faire, traversé des lignes, des espaces, des espaces culturels surtout, des idéologies.
Une distance de 13125 km ne constitue aucunement un obstacle au dialogue 13 125 km devient banal dans une rencontre – le dialogue a raccourci la distance, la distance devient une rencontre dans ce même dialogue.

The meeting
Andréya OUAMBA rencontre Kyung-Eu LEE en France, à Montpellier danse en 2002 lors d’un stage de composition chorégraphique ‘Atelier du Monde’ sous la direction de Susan Buirge et Bernardo Montet. Cette rencontre se traduit en une présentation d’un court projet que Kyung-Eun LEE met en place à Séoul lors du festival Modafe, puis l’aller-retour s’installe entre Séoul et Dakar. Puis Andréya OUAMBA invite la compagnie de la Coréenne à venir présenter son travail au Sénégal.

Diplomacy

‘Diplomacy II’ created and performed by Andréya Ouamba & Matthias Sperling, commissioned by Dance Umbrella Festival London, filmed at Royal Opera House, London on 10 October 2009.
‘Diplomacy II’ invites the audience to share in an encounter between two artists, asking: how do we get beyond the diplomatic to a closer understanding of one another and our relationships? Grounded in improvisation, their encounter is an embodied, evolving process of communication and negotiation. Andréya Ouamba and Matthias Sperling first met in 2007 through Woking Dance Festival’s Dance Dialogues Programme. Since then, they have collaborated on a series of short projects and artistic exchanges, both in the UK and in Dakar, Senegal.
Management:  mailto:eckhard@eckhardthiemann.com eckhard@eckhardthiemann.com

https://vimeo.com/14109687

Take it Away

We come from quite different artistic and personal backgrounds.
I’d like to take the encounter with Andréya as a person and as an artist as the point of departure for this project. We seem to share an interest in notions of improvisation as well as a disposition to begin from nothing, to confront or to inhabit emptiness. Emptiness as a window to interior spaces and histories.An interest to embrace and inhabit the instant of presentation as an act of creating.  

Andréya Ouamba à la gestuelle aiguë, précise, fragmentée, qu’il a développé lors de ses rencontres avec, entre autres, Chrysogone Diangouaya à Brazzaville, Reggie Wison, et avec la Compagnie 1er Temps qu’il a fondée au Sénégal. 
Entre le Kenya et la France, Opiyo Okach fait partie de la seconde génération de chorégraphes émergents du continent  africain. Questionnant la perception, l’identité et la présentation, son travail a été remarqué pour sa finesse et sa vision singulière. Ouvert à de nombreuses collaborations, ses dernières créations l’ont amené à rencontrer des artistes tels que Julyen Hamilton ou Koffi Koko. Le temps d’une rencontre, Andréya Ouamba et Opiyo Okach partageront le même désir d’improviser, de se confronter et d’habiter le vide, d’ouvrir une fenêtre sur leurs espaces et histoires intérieurs. 

https://www.youtube.com/watch?v=iYjlp0X9Qs8

Production
Compagnie 1er Temps
Compagnie Gàara
Coproduction
Festival d’Avignon
SACD
CCN Caen/Basse-Normandie
CulturesFrance

Lorsque d’un objet sortent idées, émotions, énergies…
De cet objet sont aussi sortie des parcours et des croisées de chemin.
Car, seule la croisée des chemins définit nos voix aux voies de nos intentions.
A partir d’un langage autour de l’habit, le mouvement et le danse prennent forme dans l’espace.

Impro-Visé 2

Choregraphy
Andreya Ouamba
Assistant
Fatou Cissé
With
Fatou Cissé, Andreya Ouamba
Lights Designer
Abdoulaye Diouf
Duration
25 minutes
Music
Richard Bona, Omar Bashir, Cie 1er Temps
Coproduction
Cie 1er Temps, Association Kaay Fecc

https://vimeo.com/327855616